Bruno Gensburger 沉浮

Un dialogue réussi entre deux cultures ne doit tendre ni vers la domination de l’une sur l’autre, ni vers le gommage de ce qui les sépare. Il doit à l’inverse tirer parti des différences de chacune en respectant ces polarités comme des données premières et irréductibles.

Si tout l’enjeu est bien sûr de rechercher leurs complémentarités et leurs synergies potentielles, il réside surtout dans l’acceptation d’une idée simple : l’important n’est pas la réduction des différences mais plutôt la quête de l’élargissement de leurs compatibilités.
C’est cet ensemble de conditions qui permettent de créer les synergies multiculturelles les plus pérennes et les plus fécondes, pour le plus grand bénéfice des entreprises et des individus.

Puissant outil de libération des énergies et rempart contre certains maux récurrents (comme la souffrance au travail), le coaching est sans doute l’investissement le plus rentable pour les R.H.
En révélant des ressources inexploitées, en recentrant les motivations, en cimentant la cohésion du groupe par un retour au sens, chacun est mieux à même de devenir un élément actif du bien-être collectif. Enfin, le coaché est libre de calibrer son cheminement en fonction de ses progrès.

Pourquoi du coaching franco-chinois ?

Parce qu’au-delà de l’attirance mutuelle naturelle et quasi magnétique entre nos deux cultures, il faut reconnaître, au risque de choquer, que la relation franco-chinoise renferme les ferments de sa désintégration. Faite de référents culturels différents, porteuse de valeurs et de projets pas toujours compatibles, une osmose durable entre les deux pôles de la relation requiert un travail mutuel de clarification et d’alignement. C’est là que les techniques de coaching, par leur rapidité, leur pragmatisme et leur efficacité se révèlent les plus pertinentes et les plus économiques pour dynamiser cette relation… sans la dynamiter.